A partir de juin 2023, un dépôt d'un livre blanc se fera auprès du ministre des tutelles pour étudier la faisabilité de tracer le produit floral. L'objectif est d'identifier l'origine de la fleur coupée. Pour certains artisans fleuristes, cette décision semble être prématurée par le manque d'outils et de compétences. Il faut savoir que 80% des fleurs commercialisées sont importées de l'étranger et donc seulement 20% d'entre elles sont produites en France.