« Au moins 10 étudiants » sur les 12 jugés coupables de délit d’entrave au droit de manifester font appel de la décision du tribunal correctionnel, selon leur avocat.
Ils avaient été relaxés du délit d’injure publique en raison de l’orientation sexuelle, le 9 septembre dernier, mais 5 d’entre eux avaient été condamnés à des peines de prison avec sursis et des heures de travail d’intérêt général.
De son côté, l’association LGBT demande au parquet de faire appel.