Les débats se poursuivent à l’Assemblée Nationale sur la possibilité d'imposer l'installation des jeunes médecins dans certaines zones. La question divise, pour le syndicat des internes en médecine générale, la solution n'est pas là. Son président national est vendéen, il connaît les problématiques qui sont les nôtres. Malgré tout les zones "sous-dotées" décrites par l'ARS ne correspondent pas toujours aux réalités du terrain.