Si le rapport de la convention citoyenne sur la fin de vie abonde vers un oui à l’ouverture d’une aide active à mourir, près d’un quart des membres semblent s’y opposer. Un avis partagé par une partie de la société civile. C’est le cas de l’association Jalmalv (« Jusqu’à la mort accompagner la vie »). Les bénévoles redoutent que les personnes les plus fragiles et isolées envisagent cette solution. L'association respecte toutefois le combat de la famille d'Hervé Pierra.