Au chapitre solidarité, une collecte de protections et de produits hygiéniques a été engagée ces derniers mois. A l’initiative d’étudiantes, en collaboration avec la Banque alimentaire de Vendée, des salons de coiffure ou d’esthétique par exemple ont pu récolter ces produits de première nécessité pour lutter contre la précarité menstruelle. Chaque femme dépense ainsi des sommes importantes durant la période des règles. 187 kg de produits d’hygiène ont ainsi été collectés depuis la mi-février.
Propos recueillis par Marie-Aimée Copleutre.