Parmi les professionnels en difficulté en raison de la crise sanitaire, les propriétaires de food trucks. Ils ont pu rester ouverts pendant ce reconfinement. Mais l’activité tourne au ralenti. Ils dépendent en effet largement d’autres secteurs comme l’évènementiel. C’est par exemple 40% du chiffre d’affaires de Paul-Jonathan Sevance, le gérant de l’Ardoise du tatoué. Aujourd’hui, ce chef d’entreprise avance dans le flou, sans pouvoir bénéficier des aides de l’Etat.

Reportage : Alexia Jeanney.