Le pic épidémique en Pays de la Loire est attendu a priori en fin de semaine. Il y a aujourd’hui près de 200 lits de réanimation disponibles dans la région. Une capacité qui devrait passer à 500 lits prochainement. Et pour soigner les malades les plus graves, la solution pourrait venir de vers marins élevés sur l’île de Noirmoutier. Ces arénicoles disposent d’une molécule qui fixe 40 fois plus l’oxygène que le sang humain. Pour la société Hemarina, l’utilisation de cette molécule issue de ces vers permettrait de soulager plus rapidement les patients en difficulté respiratoire et d’éviter l’utilisation de matériel de réanimation qui pourrait manquer. Ecoutez le PDG d’Hemarina que nous avons joint par téléphone.