Une nouvelle opération vérification des étiquettes au Hyper U d’Aizenay. Menée conjointement par la FDSEA et les jeunes agriculteurs, l’idée est de vérifier l’origine des viandes mais surtout le prix de vente. Pour le président de l’institut français du porc Paul Auffray, un prix correct serait de 1,55 euro le kilo. Or, à la fin du mois de novembre, ce prix atteignait 1 euro 23. Et Dans le même temps, le cout pour produire cette viande augmente. Pour les agriculteurs vendéens, cela devient inquiétant.