Retrouver sa langue maternelle pour les uns, s'amuser en parlant le maraîchin, être un moyen de contact avec ses patients, cultiver la diversité linguistique, se forger son identité culturelle… pour d'autres, autant d'arguments qui animent la trentaine d'élèves qui se sont inscrits aux ateliers d'apprentissage de la langue maraîchine. Evidemment, cela se passe dans le Marais breton-vendéen, à Sallertaine. Initiative de l'OPCI, c'est Philippe Boisseleau, son directeur, qui vante les bienfaits d'une telle entreprise. O fait dou bene que d'parlère de maême !