La deuxième réunion organisée près d’Angers s’est terminée rapidement, mardi après-midi. L’intersyndicale évoque des menaces de la part de la CGT à l’encontre des autres représentants syndicaux. La direction de Michelin évoque un climat empêchant des discussions dans un climat serein. De son côté, la CGT estime qu’il n’y a pas eu de menaces ni d’agressions et parle d’une volonté de dénigrer son organisation.

Ces négociations doivent permettre de déterminer les conditions de départ des salariés de l’usine Michelin de La Roche-sur-Yon qui doit fermer l’année prochaine.

Elles reprendront finalement mercredi 13 novembre mais se dérouleront à Clermont-Ferrand.