Ce passage de plus de 4 km, reliant l’île au continent, exerce une étrange fascination au mo-ment où l’Océan se retire pour mettre au jour un pavement. Pour tous, petits et grands, sa traversée s’apparenterait presque à un rite initiatique.Si les Normands l’empruntaient déjà au Moyen Âge, ce n’est qu’à la fin du XVIIIe siècle que le Gois est aménagé. Depuis, il est ponctué de balises-refuges destinées aux imprudents qui se laissent surprendre par la marée. Ces aménagements offrent assurément une vue impre-nable sur le continent, sur l’île, mais aussi sur le pont et bien évidemment la grande bleue ! Savourons l’air iodé… Maxime, allez, raconte-nous encore une histoire…ton histoire, celle de ton île, s’il te plait ra-conte nous l’histoire de ta vie.